RÉFLEXIONS SUR LA LOI FORMELLE ET LES RÈGLES LOCALES: LA RÉPRODUCTION DU SAVOIR TRADITIONEL À TRAVERS LES RAPPORTS SOCIAUX ENTRE GÉNÉRATIONS EN COMMUNAUTÉS ORIGINÉ DES ESCLAVES NOIRS
DOI :
https://doi.org/10.18542/amazonica.v5i3.1565Résumé
Dans cet article nous réflexissons sur la réproduction et le reénouvellement du savoir traditionnel associé à la biodiversité, à la lumière des actuelles interventions de l’État dans les rapports sociaux entre générations dans communautés originés des esclaves noirs, les quilombos. En prennant comme point de partie le récit d’un chef du Quilombo de l’Ile de Camaputiua, nous discutons ces interventions par rapport aux lois de protection du savoir traditionnel associé à la biodiversité proposé par l’État. Nous avons verifié que malgré l’apparent progrés dans la legislation du à la regulamentations partielle de l’article 8j de la Convention de la Diversité Biologique, la supposé protection du savoir traditionnel n’a pas été effectivé parce que s’ignorent des formes de renouvellement de ce savoir et comme elles ont éte vécues par ces populations et communautés traditionnelles. Dans le champ juridique, pour cela, il faut l’application en direct de la Convention OIT 169. La conclusion est que, actuellement, le renouvellement des savoirs traditionnels e donnent, à grand peine, dans des situations de résistance des communautés traditionnelles qui persistent en leurs pratiques cotidiennes qui envolvent plusieurs generations. Mots-clés: Savoir traditionnel, communautés descendents des esclaves noirs, generation, Amazonie.Téléchargements
Publié-e
2014-04-21
Numéro
Rubrique
Articles inédits