OCCURRENCE ET USAGES DU TUCUMÃ (ASTROCARYUM VULGARE MART.) EN COMMUNAUTES RIVERAINES, QUILOMBOLAS ET DES AGRICULTEURS TRADITIONNELS DANS LA MUNICIPALITE D’IRITUIA, PARA

Auteurs-es

  • Lucas Peranovichi Lima Universidade Estadual Paulista Júlio de Mesquita Filho
  • Gutemberg Armando Diniz Guerra Universidade Federal do Pará - UFPA
  • Lin Chau Ming Universidade Estadual Paulista
  • Magno Roberto Alves Macedo Universidade Estadual Paulista

DOI :

https://doi.org/10.18542/amazonica.v5i3.1604

Résumé

Le sujet de cet article est demontrer l’ocurrence et les usages du tucumã (As­trocaryum vulgare Mart) dans la zone rurale du municipe d’Irituia, dans l’État du Pará, une fois que le profit de ce palmier fait partie de la culture traditionnelle des communautés des agriculteurs familiaux, des riverains et des descendents des esclaves. Ce palmier est aussi utilisé comme medicine pour maladies, dans l’alimentation humaine, comme nourriture pour des animaux doméstiqués, pour la construction des logements, pour l’obtention de fibres, pour la pro­duction d’outils et l’artisanat, pour la chasse et la pêche. Plus que des usages indiqué par la population locale, le tucumã a le potentiel pour la production d’huile de palme et le biodiesel. Dans ce sens, l’Université Fédérale du Pará – l’UFPA, en partenariat avec la Mairie d’Irituia, a promu des études pour l’implantation d’une usine pour la transformation des oleagineuses existentes dans le territoire de la municipalité, entre lesquelles s’est inclu le tucumã com­me potentielle matière première. Cette proposition incite la production des sistèmes agroforestières comme une alternative au sistème d’abbatis-brûlis, en conciliant la conservation environementale avec le Développement Rural Territorial. Aprés les mensurations sur le terrain, on peut estimer une moy­enne de 9,4 souches de tucumã par hectare, chaque souche avec 7,7 estipes et 4,7 regimes avec jusqu’à 147 fruits dans chaque regime. Si toutes les souches de tucumã restent maintenus jusqu’à atteindre cette moyenne de production, on estime que la production totale d’Irituia serait au tour de 132 060 tones, qui pourraient être transformé en 12 665,4 tones/année de huile de la pulpe et 4 768,4 tones/année de huile des amandes, ce qui confirmerait la matière première pour mouvementer toute cette chaine de production. Mot-clés: agroextraction; oleagineuses; agriculture traditionelle; savoirs locaux; développement durable.

Biographie de l'auteur-e

Lucas Peranovichi Lima, Universidade Estadual Paulista Júlio de Mesquita Filho

Universidade Estadual Paulista “Júlio deMesquita Filho”, Faculdade de CiênciasAgronômicas, Campus de Botucatu, SP,Brasil, Brasil

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Publié-e

2014-05-07

Numéro

Rubrique

Articles inédits